MICHEL ROBICHAUD – « BEAU MYSTÈRE »
12 décembre
Quai BACO
Lauréat du 46ème Festival International de la chanson de Granby, Michel Robichaud nous présente en cette fin d’année son premier album intitulé « Beau Mystère ». Au travers de textes soignés, le jeune auteur-compositeur-interprète nous abreuve d’une pop folk soigneusement innovante qui réussit à constamment se renouveler.
S’inscrivant dans une tradition folk québécoise, Michel Robichaud nous sert un premier titre au son brut. Mêlant instrumentation cajun à un folk francophone, le Québécois construit progressivement sur « Les journées patates » un univers doux et chaleureux. Superbement orchestré, le titre traîne sa ritournelle simple et énergique dans une composition lumineuse et pleine de vie. Revigorante, la musique du Canadien nous touche de plein fouet.
Mélange très réussit de musique country proche du cajun et pop efficace, le titre « Beau Mystère » confirme cette bonne impression. Magnétique, Michel Robichaud nous emporte dans des compositions à l’écriture fine et impertinente. Transformant son folk épineux en une musique pleine de poésie, il construit des titres très mélodiques et se joue des embûches propre à ce mélange de styles.
En effet, le Québécois réussit à rendre cohérent un mélange musical de son invention. Très énergique sur le magnifique « Cogne Caboche », nous faisant furtivement penser aux sonorités lourdes et entraînantes des Black Keys, Michel Robichaud apparaît aussi à l’aise avec la balade folk. Que cela soit sur le très vaporeux « B.C » ou le vivifiant « Ciment », la musique du Québécois mélange vision anglo-saxonne et latine dans des compositions aux refrains addictifs qui de suite nous emportent.
Jouant sur une simplicité de vitrine, Michel Robichaud saupoudre chaque titre d’une complexité intrinsèque rendant le tout excessivement homogène. Triste et intimiste sur « L’adulte », il y réalise un travail remarquable sur chaque sonorité, mettant en place, par petites touches, un univers glaçant et candide relevant de l’art sonore plus que de la musique à proprement dit. Malgré quelques titres plus en deçà, tels le jazouille « Pour à soir » ou le très coulant « Vancouver », le Québécois nous fait tout oublier au travers de « Le vol », dernier titre en forme de synthèse musicale.
À la fois folk, mais aussi rock, pop voire rap, Michel Robichaud nous prouve au travers de ce premier album son talent immense. L’artiste construit une musique en forme de patchwork émotif. Sans l’ombre d’un faux pas, les titres mêlent arrangements raffinés et swing hypnotique. Sur une base très chansonnier, il construit de véritables bijoux musicaux à géométrie variable. Follement créatif et très audacieux, Michel Robichaud, sans jamais stigmatiser un style en particulier, les regroupe dans un tout très cohérent où chacun semble avoir sa place. Du grand art!
Arnaud Le Tillau
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CHRONIQUE DISQUES
8 décembre
Claude Deschênes
Beau Mystère, Michel Robichaud,
Disques Albert/ Believe Digital
Michel Robichaud c’est le nouveau venu de 2014, grand lauréat du Festival international de la chanson de Granby. Aussi chanteur que conteur le chansonnier de Saint-Agathe-des-Monts. Ses tounes sont comme des turbines qui utilisent les mots pour faire tourner notre imaginaire. Avec Beau mystère, L’écureuil ou Le Vol (chanson fleuve à 3 personnages qui rappelle le style des années 70) il nous entraîne dans des histoires abracadabrantes. Sur BC et Vancouver, il révèle un côté mélancolique. Alors qu’Adulte est plus atmosphérique. Tout n’est pas d’égale valeur, mais notre folk-singer peut compter sur une voix chaleureuse qui rachète les imperfections de ce premier opus. Le charisme qu’il démontre sur scène est même perceptible sur disque. Ce gars-là, déjà trentenaire, ne devrait pas rester longtemps un mystère.
Claude Deschênes
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MICHEL ROBICHAUD : Sympathique espièglerie
4 décembre
RREVERB
Gagnant du 46e Festival international de la chanson de Granby, en septembre dernier, Michel Robichaud a fait paraître son premier album le mois dernier (disponible seulement en format numérique pour l’instant). Très hétéroclite, « Beau mystère » nous fait découvrir la forte personnalité de cet auteur-compositeur-interprète natif de Sainte-Adèle. Tour à tour touchant, sympathique, drôle, espiègle et sérieux, Robichaud offre un très bon premier opus aux accents folk-pop.
Tout juste trentenaire, Michel Robichaud a un parcours plutôt atypique. Il a commencé à jouer de la guitare à 18 ans, et, de 2006 à 2010, il s’est produit quatre fois au Patriote, à Sainte-Adèle. Chaque fois, il jouait des chansons différentes. En 2013 et 2014, il a finalement fait des dizaines de spectacles aux quatre coins du Québec. Depuis plus d’un an, il a participé à tout ce qu’il y a de concours pour la relève musicale : Saint-Ambroise, Vue sur la relève, Les Francouvertes, Petite-Vallée, Granby, etc. Entre temps, c’est avec Hugo Perreault à la réalisation, Antoine Gratton au piano, Guido Del Fabbro aux cordes et Richard Séguin à l’harmonica qu’il est entré en studio.
« Beau mystère » débute avec Les journées patate, sympathique chanson aux sonorités folk-pop où les cuivres dominent (donnant parfois dans le dixieland). La chanson-titre est une mise en abyme où Robichaud fait une hilarante réflexion sur de grandes et petites questions de la vie, auxquelles il n’a cependant pas de réponse : « Une toune remplie de questions sans réponse… c’est pas tout de suite qu’elle arrête. Ça m’chatouille encore dans la tête ». Ce morceau rappelle la dégaine d’un Patrice Michaud et la verbo-motricité d’un Jean-François Lessard. Premier extrait radio, Sur mon dos est une entraînante pièce où la poésie espiègle de Robichaud est à son meilleur. Seul à la guitare acoustique, avec un accompagnement de mélodica et de piano, Robichaud livre une touchante prestation sur la très belle B.C.. La première partie de Ciment est portée par les cordes, puis devient résolument funky.
Robichaud enchaîne ensuite avec trois chansons (Cogne caboche, Vas-y et L’écureuil) plus ou moins réussies, mais qui sont très humoristiques. Du lot, Vas-y est la plus décomplexée : « Si ta semence est sans complexe et passe au travers du latex. Vas-y, vas-y, vas-y, vasectomie ». En contrepartie, l’atmosphérique L’adulte est joliment planante. Pour à soir a une ligne de basse très dansante, avec un court mais très bon solo de piano électrique, des chœurs féminins et d’envoûtants passages à l’harmonica. La mélancolique Vancouver est une splendide ballade : « Je reviendra dans huit semaines. J’aurai la peau à fleur de toi, et puis je rapporterai les cernes des nuits où tu n’étais pas ». Les premières minutes de la finale Le Vol sont narrées d’une manière qui rappelle un peu trop Dehors novembre. Menée par le piano, la fin est toutefois complètement inattendue, alors que le narrateur de la pièce devient le dictionnaire qui ne s’est pas fait voler dans son auto!
Très bien entouré et visiblement prolifique, Michel Robichaud a accouché d’un album qui va dans plusieurs directions, mais qui plaira assurément aux amateurs d’un folk-pop qui ne se prend pas trop au sérieux. Plusieurs influences peuvent être entendues, et Robichaud semble encore dans une phase exploratoire, mais il a imprégné sa personnalité à ces 12 chansons. On aime bien également la diversité d’ambiances, bien que le changement de ton d’une pièce à l’autre puisse surprendre à la première écoute. Parions que Michel Robichaud saura encore nous surprendre lors des prochaines années!
MICHEL ROBICHAUD
Beau mystère
(Idée Plus, 2014)
-Genre : folk-pop
-Dans le même esprit que Patrice Michaud, Les Colocs, Jean-François Lessard
BENOIT BERGERON
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À Granby, Michel Robichaud a pris son erre d’aller
29 novembre
En cinquième secondaire, Michel Robichaud a obtenu une note de 16 % en musique. Pas parce qu’il ne comprenait pas la mathématique des doubles croches ou le rôle de la clé de sol mais parce que le grand ado, futur émule d’Éric Mongrain et de John Butler, grattait les cordes de la guitare avec les ongles de deux doigts alors que le professeur enseignait le jeu à trois doigts.
Orgueil contre entêtement, sourit Michel Robichaud, rencontré cette semaine entre le lancement de son premier CD, Beau mystère, et le début d’une tournée qui l’amènera au studio-théâtre Claude-Léveillée de Place des Arts jeudi prochain dans le cadre des Week-ends de la chanson Québecor.
Dans la langue du showbiz, le grand gars de Sainte-Adèle fait partie des artistes « émergents », mais son parcours de la dernière année donne à l’expression une connotation éminemment dynamique.
Flashback. Entre 2006 et 2010, Michel Robichaud a donné quatre spectacles, toujours avec ses chansons à lui et toujours avec ses amis au Patriote en haut à Sainte-Agathe que dirigeait alors son ami Denis Lamarre, un homme d’expérience « avec un gros coffre d’outils ».
« En 2012, j’ai décidé de m’y mettre et Denis est devenu mon manager », raconte Robichaud qui a découvert la scène par ses cours de théâtre au secondaire où, timide, il aimait se « cacher derrière le personnage ». « Maintenant, je me cache derrière ma guitare… »
Derrière la guitare de sa blonde, en fait, une Norman qu’il a dû remplacer après s’être fait cambrioler son auto, comme le raconte la chanson Le vol, où se suivent les histoires du voleur, de sa victime et du « témoin », un dictionnaire que le voleur n’a pas pris. Manière de théâtre de parking où Robichaud plonge tête première dans la profusion des mots de son dico : « De scrotum à podium », « de bandit à Gandhi ».
PARCOURS DE CONCOURS
D’emblée, Lamarre et Robichaud (ça pourrait être une firme de consultants pour artistes émergents) optent pour l’autoproduction, avec les avantages – souplesse, liberté créative – et les inconvénients de l’approche, le premier étant l’obligatoire autosuffisance.
Le problème se règle de lui-même, si l’on peut dire. Robichaud donne 40 spectacles en 2013 et 50 en 2014. Puis vient le choix des concours et festivals où, de Diapason à Vue sur la relève et de Saint-Ambroise à Granby, il repart avec des récompenses dans six des sept manifestations auxquelles il participe. Avec un bang au 46e Festival de la chanson de Granby en septembre dernier où, à son titre de lauréat, il ajoute cinq autres prix dont le prix Lynda Lemay avec une tournée en Europe.
« En plus de ce que l’on apprend sur la business durant les formations, Granby donne de la visibilité au projet », explique un Michel Robichaud bien conscient de l’avance qu’il avait sur ses concurrents.
« Granby n’était pas dans nos plans, mais un ami nous a convaincus de nous présenter. Je suis arrivé là avec un disque déjà fait et un show rodé… »
— Michel Robichaud
Total des gains de concours sur 13 mois : 100 000 dollars, divisés en biens et services – temps de studio, impression des CD, etc. – et environ 20 000 dollars en argent, liquidités qui remettent « les gigs à 200 $ dans les petits bars » dans une perspective moins dramatique.
QUOTIDIEN « PÉRISSABLE »
Une quinzaine de musiciens ont participé à l’enregistrement de Beau Mystère, disponible sur le web seulement et dans les salles de spectacles où Michel Robichaud se produit en duo avec Jessica-Charlie Latour-Marleau, « multi-instrumentiste, comme son nom l’indique ». Robichaud l’est aussi, qui se programme des séquences de drum et autres effets de pédale pour asseoir les rythmes folk rock de ses interrogations vitales : Comment sentir un fond solide/Quand on marche dans le vide ?
« Herbivore calciotrope » avide d’images et de mots, Michel Robichaud est aussi un philosophe du quotidien « périssable » qui se pose beaucoup de questions sérieuses mais sans se prendre la tête. Mais ça chauffe là-haut, on le sent – Des fois, le courant/Me zigouille le cockpit – , même si le danger vient surtout du bas : Si ta semence est sans complexe/Et passe au travers du latex/Vas-y, vas-y, vasectomie. Un homme averti…
Les affaires roulent pour Michel Robichaud, futur trentenaire qui prend bien soin de ne pas s’énerver avec tout ça. « Tout est à faire », lance-t-il en évoquant un son à peaufiner et une image à définir.
Tout est à faire, mais le cas du mediator est réglé : Michel Robichaud a, sur l’ongle du pouce droit, un pick qu’il a lui-même découpé, chauffé et collé. Artisan jusqu’au bout des doigts, on vous dit.
Au studio-théâtre Claude-Léveillée de la Place des Arts le 4 décembre.
DANIEL LEMAY
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Beau mystère, de Michel Robichaud
22 novembre
Le Droit
Michel Robichaud est renversant! Un pop-folk-urbain-progressif ravageur et une attitude espiègle. Le seul Beau mystère, c’est que cet auteur-compositeur-interprète ne soit pas déjà plus connu.
Sa victoire au Festival de Granby, en septembre, et sa participation au Coup de coeur francophone, cette semaine, devraient renverser la vapeur. Quelques ténors (Guido Del Fabbro aux cordes, Antoine Gratton au piano, Richard Séguin à l’harmonica, Hugo Perreault à la réalisation) participent à l’album: ça aidera à enfoncer le clou.
Le sympathique premier extrait, Sur mon dos («chus périssable!») commence à percer les ondes commerciales. L’album alterne entre joyeusetés funky (Ciment), énergie cuivrée (Journées patates), narration-émotion (Le vol), poésie rieuse-joueuse, ou douce et songée.
À noter: c’est une sortie numérique. L’album physique n’est disponible qu’en spectacle. Ça tombe bien, il sera à La Basoche le 11 février, en prestation gratuite. On n’aura pas d’excuses…
YVES BERGERAS
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Michel Robichaud lance Beau mystère
13 novembre
Québec Spot
C’est à Montréal au Divan Orange le 12 novembre dernier qu’avait lieu le lancement du premier album de Michel Robichaud, un auteur-compositeur-interprète extrêmement talentueux. L’artiste, qui a raflé une multitude de prix au cours de la dernière année dont le prix de la chanson SOCAN au Festival de la chanson de St-Ambroise au Saguenay et le prix du public au Festival de la chanson de Granby, procédait au lancement de l’album Beau mystère devant une foule nombreuse. C’est dans le cadre de Coup de coeur francophone qu’avait lieu ce lancement.
Lors de cette soirée, qui se voulait une grande première avouée aux yeux du chanteur, cinq chansons ont été dévoilées. La première, interprétée avec beaucoup de douceur par Robichaud, fut B.C., récit d’une escapade en Colombie-Britannique vécue par le chanteur. C’est un folk country attendrissant qui nous est livré d’emblée, un beau premier contact avec le public présent au Divan Orange.
Puis c’est Beau mystère, une chanson à la rythmique beaucoup plus accélérée qui est présentée. Des passages plus tranquilles viennent équilibrer cette pièce aux envolées musicales intéressantes. L’utilisation du banjo, de l’harmonica et de l’orgue agrémente cette chanson folk-rock.
C’est avec une transition humoristique qu’il annonce Pour à soir. Le groove de cette chanson est excellent et se retrouve à mi-chemin entre le blues et le jazz. Il enchaînera ensuite avec Sur mon dos, qui tourne actuellement sur les ondes radiophoniques de la province québécoise. Le thème de l’endettement est soulevé de manière tout à fait légère au sein de cette pièce.
Michel Robichaud a procédé aux remerciements d’une manière particulièrement originale. En effet, il a su rendre intéressant ce moment du lancement sous la forme d’une présentation de catégories, à la manière d’un gala. Il tenait entre autres à remercier les musiciens qui l’accompagnaient soit Hugo Perreault, Jessica-Charlie, son acolyte au clavier depuis plus de deux ans, J.F. Gougeon à l’harmonica et Marc-André Larocque à la batterie. Il a aussi remercié tous les gens ayant participé de près ou de loin à la réalisation de ce projet, dont les membres de sa famille et son gérant Denis Lamarre.
C’est toutefois la chanson Le vol qui a le plus capté mon attention. Sa structure narrative qui se vit en trois points de vue, celui de Michel qui se fait voler, celui du voleur et celui d’un dictionnaire ignoré par le voleur se veut tout à fait intéressante. De plus, un passage à la guitare qui cherche à représenter l’angoisse vécue par le chanteur, alors qu’il se rend compte que sa guitare lui a été volée, est tout à fait merveilleux.
Michel Robichaud aura procédé avec beaucoup d’humour et de joie au lancement de Beau mystère, après un an de patience et de labeur avant de concrétiser son projet. Les textes parfois sérieux, parfois mystiques et souvent humoristiques font voyager les spectateurs dans des directions diverses et font en sorte que l’expérience d’écoute se veut tout à fait complète.
Guillaume Brûlé
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Le Patriote accueille son protégé
Michel Robichaud, mille fois bravo !
23 septembre
L’information du Nord
SAINTE-AGATHE-DES-MONTS – Un retour au bercail pour Michel Robichaud.
Le samedi 19 septembre, c’est sous une petite soirée d’automne que le Patriote célébrait, en effet, le retour de sa super découverte, Michel Robichaud.
Plume exceptionnelle
Accompagné de sa complice et amie Jessica-Charlie, le magnifique protégé a fait de sa rentrée une occasion extraordinaire. Lauréat du prestigieux Festival international de la chanson de Granby, cuvée 2014, Michel Robichaud a su montrer et démontrer que les gens de paroles ont aussi la note qui sait faire vibrer.
Reconnu pour sa plume exceptionnelle et son don incroyable de la répartie, ce chanteur-conteur reconnait que la vie est un beau mystère composé de questions sans réponses, de fantaisies lucides et surtout de ce petit rien d’humour spontané qui assaisonne si bien une lucidité parfois surprenante.
Michel Robichaud, l’éternel insoumis, le fort en thème et en «Je t’aime la vie» était fort attendu en salle. Salle? Suivant un concept inédit proposé par Denis Lamarre, la salle prenait place directement sur scène. Michel partageait donc la scène avec ses amis et ses fans venus le saluer d’une façon toute particulière, tant l’ambiance était propice aux surprises.
Des gens de partout avaient répondu à l’invitation d’Alexandre Gélinas et tous, sans exception, avaient le cœur à célébrer ce jeune artiste sacré grand gagnant d’une compétition de haut calibre. Linda Lemay n’a-t-elle pas révélé, lors de ce concours, combien elle aurait aimé écrire la chanson «Le vol»? C’est, en fait, une chanson folle où les différentes versions d’un même événement nous sont livrées d’une façon si bien structurée qu’on a l’impression d’incarner alternativement les personnages de l’histoire. Coup de maître, cette chanson!
Michel Robichaud est présentement en production de son premier album qui sortira en novembre prochain. On nous promet un lancement à la hauteur du gaillard, c’est-à-dire fort coloré. Le lancement aura lieu au Patriote, bien sûr, puis à Montréal. Notre petit Michel a fait ses classes. À nous de le découvrir encore et encore.
Un beau et grand bravo au gagnant, une bise à Jessica-Charlie pour son talent et son professionnalisme. Un immense câlin à Denis Lamarre pour tout le travail d’accompagnement et de coaching et, encore une fois, le plus beau des mercis au Patriote de perpétuer la tradition qui est celle de laisser la relève prendre la place qui lui revient!
Danielle Cloutier
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Finale de la 46e édition du Festival international de la chanson de Granby…
15 septembre
Québec spot
Ça y est, le Festival international de la chanson de Granby a un nouveau roi, il s’appelle Michel Robichaud. Mais l’artiste de St-Adèle a dû batailler fort pour inscrire son nom dans la liste des gagnants parce que cette soirée a démontré que le talent s’était donné rendez-vous à Granby pour le plus grand bonheur de nos oreilles !
C’est sans le moindre doute un formidable conteur d’histoires. Avec humour et sensibilité, il a su incarner divers personnages et styles musicaux qui ont fait la différence. « J’avais une chance sur cinq de gagner. C’est fait. C’est fou, mais c’est fait. Je suis tellement heureux que je ne sais pas quoi dire », avouait-il à la troupe de journalistes venus le rencontrer. Il faut dire qu’en plus du grand prix (et de tout ce qui vient avec soit la Bourse Rouge FM, le Fonds d’aide au développement, le Lynda Lemay – Tournée Granby Europe est revenu à Bon Débarras (avec Bon Débarras), le prix LiveToune, le prix RSB IMEDIA – 45 Tours et le prix Télé-Québec – La fabrique CULTURELLE), l’artiste est également reparti avec le prix « Coup de cœur » du Festival de la chanson de Tadoussac et le prix « Coup de cœur » Radarts.
Christelle Lison
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DU TALENT À DÉCOUVRIR
ET LE GAGNANT EST…..
15 septembre
Claude Deschênes
Le Festival international de la chanson de Granby a un 46e lauréat. Il s’agit de Michel Robichaud, un auteur-compositeur-interprète original. Le natif de Sainte-Adèle aura 30 ans en novembre. C’est un artiste qui a déjà de la maturité.
Son écriture est foisonnante et débridée. Il nous raconte vraiment des histoires dans ses chansons. Sa musique est au diapason de cet univers touffu. On l’a vu très à l’aise sur la scène du Théâtre Palace en demi-finales.
L’autre nom à retenir de cette 46e édition: Émile Bilodeau. Le petit gars de Longueuil a 18 ans. Il est une sorte de clown chantant. Il fait rire le public avec facilité mais derrière cette désinvolture, il y a de la profondeur dans son propos. Émile Bilodeau a entre autre remporté le prix du public, le prix de la meilleure présence en scène et les prix offerts par les FrancoFolies, le ROSEQ et le Festival d’été de Québec. On le reverra!
Claude Deschênes
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Le sacre de Michel Robichaud
15 septembre
La Pressse via La voix de l’est
(Granby) Sans grande surprise, c’est Michel Robichaud qui a remporté le 46e Festival de la chanson de Granby, samedi soir. Et Émile Bilodeau a mis la main sur une majorité de prix. On se doutait bien que le jury allait préférer le fruit mûr au vert pour les grands honneurs, mais qu’il allait quand même féliciter le jeune pour les bons moments passés en sa compagnie, l’encourager à continuer et lui donner un p’tit coup de pouce en passant. Parce que s’il avait pu y avoir deux gagnants, sûrement que les deux « partenaires de festivals » – ils en ont fait quelques-uns ensemble – seraient sortis ex aequo. Les trois autres finalistes se sont partagé la balance des six prix restants.
On l’avait souligné: le gars des «Pays-d’en-Haut» avait une longueur d’avance sur tout le monde. Son «folk-progressif sympathique» a encore une fois séduit le jury – ç’a été le cas six fois sur sept cette dernière année! Il était à la base venu à Granby pour plugger son album, dont le lancement est prévu le 12 novembre prochain au Divan Orange à Montréal.
Marie-Ève Lambert
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Michel Robichaud sacré gagnant du Festival de la chanson de Granby
14 septembre
ICI Radio-Canada (vidéo)
Le 46e Festival international de la chanson de Granby s’est conclu samedi soir avec le couronnement de Michel Robichaud.
Originaire de Sainte-Adèle, dans les Laurentides, le chansonnier repart avec environ 60 000 $ en prix et en bourses. Il participera aussi à une tournée européenne de 25 spectacles en 2016.
Chanteur, guitariste, conteur, Michel Robichaud joue du folk. Il est reconnu pour sa plume exceptionnelle.
La finale opposait cinq artistes aux styles musicaux variés. Outre Michel Robichaud, les festivaliers ont pu voir à l’oeuvre Antoine Lachance (Sorel), Kelly Bado (Winnipeg), Soucy (Miguasha) et Emile Bilodeau (Longueuil) qui, à 18 ans, s’est aussi démarqué en remportant plusieurs prix. Le Festival de la chanson de Granby a servi de tremplin à de nombreux artistes depuis sa première édition, en 1969, dont Lisa Leblanc, Jean Leloup et Linda Lemay. Cette dernière agissait d’ailleurs comme porte-parole du festival cette année. Le concours avait couronné le groupe Garoche ta sacoche en 2013. La grande finale de samedi était animée par Marina Orsini.
Marie-Hélène Rousseau
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Michel Robichaud couronné à Granby
14 septembre
Le Devoir
Dans un Granby gris et sous la pluie, la 46e édition du Festival international de la chanson a pris fin samedi soir avec la grande finale de son volet concours. C’est l’auteur-compositeur-interprète Michel Robichaud qui est reparti avec les grands lauriers et une bourse de 40 000 $. Robichaud poursuit une année ponctuée de réussites, lui qui s’est aussi démarqué dans plusieurs concours et festivals, dont à Petite-Vallée. Surpris mais ému, le guitariste a lâché un « j’peux tu dire tabarnak? », avant de remercier la communauté de la ville et ses passionnés de musique. Comme autres prix, il a aussi reçu des invitations au Festival de Tadoussac et à la Francofête en Acadie.
Son approche est folk, et il se présente devant la foule avec sa guitare, jouée simplement. Mais le groupe maison derrière lui donne un bon coup de pouce, menant ses chansons dans un univers quasi cajun (avec le violon ainsi que l’harmonica, joué par Rick Haworth), ou velouté. Sur son troisième titre, avec son ton récité chanté, Robichaud avait quelque chose de Martin Léon ou des Colocs — dans les titres les plus tristes. Robichaud a beaucoup d’esprit, et une très bonne présence sur scène. Il a du talent pour décrire l’anecdotique, et avec un peu plus de frisson et de concision, ç’aurait été encore mieux, quoiqu’en ait dit le jury composé d’environ une centaine de membres de l’industrie musicale.
Philippe Papineau
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Festival international de la chanson
Michel Robichaud grand gagnant à Granby
13 septembre
TVA nouvelles
Cinq univers, cinq singularités. Décidément, il y en avait pour tous les goûts à la finale de la 46e édition du Festival international de la chanson de Granby (FICG).
Au terme d’une soirée forte en émotions, c’est finalement l’auteur-compositeur-interprète Michel Robichaud qui a remporté les honneurs. Grâce à son folk progressif et sa livraison intimiste empreinte d’humilité, Robichaud a mérité plus de 40 000$ en prix et en bourses. Visiblement ébahi par l’annonce de son couronnement, le chansonnier a tenu à rendre hommage aux habitants de Granby qu’il considère comme de véritables mélomanes.
«Si jamais toute l’industrie plante, je suis sûr que dans 100 ans il va encore y avoir une communauté d’écouteurs de musique francophone à Granby», a-t-il dit, reconnaissant.
Juste avant le dévoilement des différents prix, la porte-parole de cette 46e édition et gagnante du FICG en 1989, Lynda Lemay, a offert une prestation toute en douceur. Invité-surprise de la soirée, le chansonnier français Yves Duteil a chanté son classique «La langue de chez nous» en chœur avec Lemay, Orsini et tous les finalistes. Le jury était composé d’une centaine de professionnels de l’industrie de la musique provenant d’un peu partout à travers la francophonie.
Olivier Boisvert-Magnen
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Michel Robichaud remporte la grande finale
13 septembre
Granby express
FESTIVAL. On vous avait prévenu, on sentait le vent souffler des Pays-d’en-haut et les signes n’ont pas menti. Michel Robichaud a été couronné lauréat de la 46e édition du Festival international de la chanson de Granby au terme d’une finale relevée.
Tout comme il l’avait fait en demi-finale, l’artiste de Ste-Adèle a fait l’étalage de toutes les qualités que l’on cherche chez un auteur-compositeur-interprète. Dans ses histoires-chansons on entend en coulisse un Desjardins version Roger Guntacker ou Le buck. Au risque de se répéter, c’est un artiste mature, un auteur d’exception que l’on a hâte d’entendre en long jeu.
Robichaud a ce délicat doigté qui permet à certains chansonneurs de nous balancer nos quatre vérités en pleine face et d’obtenir un sourire. Le charisme y est, le jeu de guitare aussi. Il fera un grand ambassadeur pour le FICG. Ce qui ne sera pas de refus après quelques éditions plus difficiles. «Michel, c’est peut-être le futur Richard Desjardins. Beaucoup de mots, une poésie atypique bien intéressante et musicalement c’est solide. Je suis content pour lui», a commenté le DG Pierre Fortier en coulisse.
Et dire que le lauréat a bien failli ne jamais mettre les pieds au concours. «C’est un autre demi-finaliste (Anthony Roussel) qui m’a dit de m’inscrire. Je lui ai dit non, je ne vais pas là! On a viré une brosse à Baie-Saint-Paul et puis le lendemain, je me suis inscrit», a-t-il raconté après le spectacle.
Ugo Giguère
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FICG 2014 :
Antoine Lachance, Michel Robichaud, Kelly Bado, Soucy et Émile Bilodeau seront de la finale
10 septembre
Voir.ca
Au cours des derniers jours, les 24 demi-finalistes de la 46e édition du Festival international de la chanson de Granby ont fait valoir leur talent sur la scène du Théâtre Palace de Granby devant public. Le jury a sélectionné 5 finalistes qui seront de la grande finale du 13 septembre prochain : Antoine Lachance de Sorel, Michel Robichaud de Ste-Adèle, Kelly Bado de Winnipeg, Soucy de Miguasha et Emile Bilodeau de Longueuil (choix du jury et du public).
Plusieurs prix ont été remis au terme des soirées de demi-finales. Le prix de la chanson populaire a été remis aux artistes suivants : une bourse de 1 000 $ (1ère position) à Billy Love de Gatineau avec la chanson Le set carré des indignés, une bourse de 750 $ (2e position) à Sandy Grenier de Sherbrooke pour sa chanson La fille en mauve et une bourse de 500 $ (3e position) à Marie-Claudel Chénard de Sallaberry-de-Valleyfield pour sa chanson De par le dos.
L’auteur-compositeur-interprète Michel Robichaud de Ste-Adèle a reçu le prix Robert Léger pour souligner la qualité de la langue française et l’originalité de sa chanson Beau mystère. Une bourse de 1 000 $ lui a été octroyée.
L’auteur-compositeur-interprète Charles Robert de Sorel-Tracy a gagné le prix de la chanson primée Socan grâce à sa pièce J’irai. Ce prix souligne la sensibilité de Charles Robert qui retourne chez lui avec une bourse de 1 000 $.
L’auteur-compositeur-interprète Emile Bilodeau de Longueuil a remporté le Prix du public Yves-Gagnon d’une valeur de 1 000 $ attribué suite au vote du public.
L’aventure se poursuit pour les 5 finalistes qui retourneront en atelier afin de peaufiner leur performance scénique et fignoler leurs arrangements avant de remonter sur la scène du Palace lors de la Grande Finale qui aura lieu le samedi 13 septembre prochain.
Rappelons que la direction artistique de la finale a été confiée à Katia Gagné et que Philippe Brault assurera la direction musicale. C’est la comédienne et animatrice Marina Orsini qui animera cette soirée et Lynda Lemay, porte-parole de l’événement, y sera reçue en tant qu’artiste invitée. En tout, plus de 100 000 $ seront remis en prix et bourses, dont 40 000 $ au grand gagnant.
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PLACE AU 46e FESTIVAL DE GRANBY
Claude Deschênes
Le Festival de la chanson de Granby a pris de l’ampleur mais il demeure fidèle à ses origines. Il est encore et toujours un prospecteur de talents. En 46 ans, il a propulsé des artistes comme Lynda Lemay (qui est d’ailleurs l’efficace porte-parole de l’événement 25 ans après sa victoire) Jean Leloup, Luc De Larochellière, Dumas, Pierre Lapointe, Lisa Leblanc et tellement d’autres. Cette année le Festival a reçu plus de 200 inscriptions. 110 ont été sélectionnés et entendus. 24 font les demi-finales.
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Une carrière en constante progression
20 août
Le Journal des Pays d’en haut-La vallée
Ghislaine Néron
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Michel Robichaud et Jessica-Charlie
Des mercredis qui prolongent l’été au Patriote
7 août
L’information du Nord – Sainte-Agathe

SAINTE-AGATHE-DES-MONTS – Légère pluie ou soirée chaude, la température n’affecte jamais la qualité des spectacles de Michel Robichaud, cet Adélois que l’on aime tant aimer.
C’est au petit Patriote, La Boîte à Chansons de la scène Desjardins que nos mercredis deviennent un prolongement de l’été.
D’ailleurs il nous le rend si bien, ce Robichaud. Lui et sa complice Jessica-Charlie font en sorte que les moments que l’on partage avec eux soient des rendez-vous exceptionnels. Jamais de temps morts, les imprévus sur scène deviennent aisément des occasions d’improviser et l’interaction avec la salle est un pur délice.
Il faut mentionner que le chemin parcouru et les divers prix que nos complices ont raflés depuis un an ont conduit à une présence sur scène des plus dynamiques, une assurance fort légitime que Robichaud et Charlie ont acquise. C’est béton. Ils se complètent tellement bien : lui, l’hyperactif en ébullition et elle, la douce semeuse d’étoiles. Le point d’équilibre est presque touché, la fougue de l’un étant harmonisée par la pondération de l’autre. Une très belle harmonie également au niveau des voix et des interventions musicales.
Rejoindre nos coeurs
Michel Robichaud est un auteur-compositeur-interprète qui habite nos montagnes et sait admirablement bien rejoindre nos cœurs en déballant autant de prose dans l’humour de ses compos. Et, malgré les sourires que ses chansons suscitent, une profonde réflexion sur la vie reste le point d’ancrage des messages véhiculés. C’est un cocktail drôle-pas drôle la vie!
Jessica-Charlie, elle, a gagné énormément d’aisance sur scène. Ses interventions sont à point, jamais trop longues, donc dosées, et toujours sur un air naturel et coquin.
Un spectacle à voir ou à revoir parce que nos gentils amis se retrouvent bientôt, en grandes salles. C’est évident.
Le Patriote a encore frappé juste et bien en ouvrant sa Boîte à Chansons les mercredis. Au coût de 5$ les frais d’entrée, c’est une excellente habitude musicale à prendre. C’est une occasion à saisir en tout cas… il reste deux mercredis!
Pour information : http://www.theatrepatriote.com
Danielle Cloutier
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Festival en chanson de Petite-Vallée
8 juillet
Le Soleil,
Hamdad et Robichaud triomphent
Michel Robichaud, qui qualifie son style d’acousti-progressif-populo-folk-sympatique, a remporté les prix non moins prestigieux du public chansonneur Hydro-Québec, Artisti pour la meilleure interprétation et Pauline-Julien du CALQ pour la prise de parole.
Johanne Fournier
11 juillet
Sur la même longueur d’onde
FESTIVAL DE PETITE VALLÉE : Du 27 juin au 5 juillet 2014 à Petite Vallée (Québec)
CADRE : En Gaspésie, entre Rimouski et Gaspé, un petite village au bord de l’eau, un resto agrandi en salle de concert, devenu temple de la chanson et de la découverte. Un endroit magique.
LES « CHANSONNEURS » : Bonne idée, pour les mettre en valeur, ils sont placés en ouverture des gros shows du soir devant un public attentif et respectueux.
Michel Robichaud rock qui cherche le sourire et la réflexion avec des histoires bien construites. « J’vais défriper le p’tit bonheur qui est en moi. » (Prix du public)
Bonne description de cette 32e édition du festival.
Village en chanson de Petite Vallée
Serge Beyer
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Cabaret festif de la relève – Grande Finale
25 avril
Super reportage de TVCVM Télévision|Production sur la grande finale du Cabaret Festif! de la relève ! Quelle magnifique veillée !!
Le 19 avril, c’est devant une foule record de 250 personnes que s’est déroulée la grande finale du concours Le Cabaret Festif! de la Relève, pour une première fois à la salle multi de l’hôtel La Ferme. Michel Robichaud a remporté les honneurs en recevant le prix du jury. L’auteur-compositeur-interprète originaire des Laurentides est aussi reparti avec le prix de La ChantEauFête de Charlevoix.
Détails et réactions dans ce reportage de notre journaliste culturelle Elise Tremblay
Michel Robichaud , Anthony Roussel , Orloge Simard , Odile DuPont , Robert Fusil et les chiens fous et Macédoine.
Félicitations à Michel Robichaud (et son band) qui est le grand gagnant de la 4ème édition du Cabaret Festif! de la Relève ! Il a également remporté le Prix de La ChantEauFête de Charlevoix.

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Coups de Pouce de Vue sur la relève
15 avril · Le Journal de Montréal

Le sympathique auteur-compositeur-interprète Michel Robichaud a lui aussi reçu trois récompenses, dont une participation à la Bourse RIDEAU 2015 via Les Entrées en scène Loto-Québec.
Catherine Chantal-Boivin
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Cabaret Festif! de la relève 2014 – Troisième soirée
La 3ième soirée de qualifications du Cabaret Festif de la Relève 2014 s’est déroulée samedi le 22 mars. Elle a été un franc succès encore une fois.
Anthony Roussel, Michel Robichaud, Ragoût et Cherry Chérie sont montés à tour de rôle sur la scène. Le jury, composé deFred Boudreault ( Auberge La Fascine) , Elise Tremblay (TVCVM Télévision|Production ‘La Page’) et Mathieu Gaudet, a décerné son prix à Anthony Roussel.
Le public a pour sa part élu Michel Robichaud comme coup de coeur. Les deux artistes ont donc obtenu leur laissez-passer pour la grande finale du 19 avril qui aura lieu à l’ Hôtel La Ferme (Le Massif de Charlevoix).
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Les Francouvertes et Vue sur la Relève – Mars 2014
Élise Jetté (Feu à volonté) Francouvertes :
Michel Robichaud a conclu l’affaire avec une proposition sympathique et des textes extrêmement relevés. Rappelant étrangement l’humour inspiré du quotidien de Trois gars su’l sofa, les pièces étaient toutes captivantes : de l’amour touchant, à l’histoire vraie très détaillée démontrant son talent de conteur. Il a même touché brièvement au slam, toujours aussi convaincant.
Marc-André Mongrain (Sors-tu) Francouvertes :
…
Pour conclure la soirée, Michel Robichaud et ses deux musiciens ont enchaîné.
Fin tresseur de mots, Robichaud débute en force avec un genre de rap-chanson punché, comique, plein d’esprit. Pensez à Dédé Fortin dans Belzébuth, Martin Léon dans Le Shack à Chuck ou encore Richard Desjardins dans Kooloo Kooloo… le jeune homme conclut le tout avec une autre chanson à la limite du spoken word, une fois de plus très réussie. Visiblement, c’est sous cette mouture que le trio (et surtout son chanteur) brille.
André Péloquin (Voir) Francouvertes:
Bien qu’il rappelle autant Rivard que Vallières, l’auteur-compositeur-interprète a également un petit côté Evel Knievel le poussant à se lancer dans des pièces suscitant, bien malgré lui, Proust (les strophes interminables de Beau mystère), voire Kurosawa (Le vol, une composition en trois actes récitée à la Rashomon).
Évidemment, ces «subterfuges» n’arrivent pas à rendre le projet du chansonnier unique ou mémorable, mais contribuent tout de même à révéler un artiste sympathique, certes, mais aussi dangereusement charismatique à en juger par la réaction du public.
Bref, méfiance…
Fanny Forest (scène 1425) Francouvertes
Accompagné de Jessica-Charlie Latour (piano, violon) et de Gabriel Hardy (basse, yuku basse), Michel Robichaud a des allures de conteur. Originaire des Laurentides, l’auteur-compositeur-interprète oeuvre assurément dans la musique néo-trad. Très à l’aise avec la langue, Robichaud est capable de nous entraîner dans un rap pop folklorique qui confirme un talent et une assurance professionnelle. Les chansons de Robichaud font preuve d’originalité, surtout quand il nous chante une histoire perçue de trois points de vue différents. Capable de sérieux comme d’humour, l’artiste et ses acolytes ont su clore la soirée dans un esprit festif.
http://www.scene1425.com/fr/magazine/francouvertes-3-triomphe-pour-joelle-saint-pierre
Francois Lévesque (Le Devoir) VSLR
Avec une quinzaine de spectacles, la chanson occupe encore une fois une place prépondérante, avec offre dense à la clé. Prenez Michel Robichaud, dont on résume ainsi le style : « acoustique-progressif-populaire-folk-sympathique ». Après sa prestation entre deux discours, on ne peut que convenir de la pertinence de chaque mot, auxquels on ajoute un « formidable » bien senti.
http://m.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/401693/vuesurlarel
Catherine Chantal-Boivin (Journal de Montréal) VSLR
L’auteur-composteur-interprète Michel Robichaud, qui mêle habilement poésie et musique, est monté sur scène pour présenter l’une de ses compositions. Le sympathique chansonnier sera certainement l’un des artistes à surveiller lors de cette 19e édition de Vue sur la relève.
http://www.journaldemontreal.com/2014/03/04/vue-sur-la-releve-primeur-sur-les-vedettes-de-demain
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Le charme de Michel Robichaud
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Un Adélois grand gagnant du Festival de la chanson de saint-Ambroise
Dominic Guay, Traces Septembre 2013
Lorsque Michel Robichaud s’est présenté au 22e Festival de la chanson de Saint-Ambroise, il y allait pour vivre une semaine d’apprentissage, en espérant faire d’enrichissantes rencontres avec d’autres jeunes créateurs. Mais la conclusion de cette semaine s’est transformée en moment de grâce pour cet auteur-compositeur-interprète.
Outre le grand prix du jury dans la catégorie auteur-compositeur-interprète, Michel Robichaud s’est vu attribuer quatre autres prix, dont le vote du public et la chanson primée SOCAN. Grâce à sa guitare, à sa voix planante et à son écriture songée, mais habitée d’une intelligente touche d’humour, l’artiste originaire de Sainte-Adèle a su séduire le jury et le public présents à l’Amphithéâtre Marcel-Claveau.
Cette reconnaissance tombe à point pour le créateur, qui entreprend cet automne la production de son premier album de matériel original. Il sera accompagné du musicien Hugo Perreault, reconnu pour son travail de réalisateur, notamment auprès de Richard Séguin et de Laurence Jalbert.
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belle richesse à découvrir

Avec la venue d’Alexandre Gélinas à la tête du Théâtre Le Patriote de Sainte-Agathe-des-Monts, ce lieu emblématique de notre culture a retrouvé ses racines et sa vocation originelle, à savoir de rendre accessible des spectacles de qualité dans les Laurentides, mais aussi de faire découvrir aux résidents, tout comme aux gens de passage, notre richesse émergente sur le plan plus particulier de la chanson francophone.
C’est ainsi qu’après avoir rajeuni la salle de spectacles où se produisent les grands noms ou productions de notre showbiz québécois, la direction a vu à en faire de même avec le hall d’entrée de cette salle de spectacles. On veut faire revivre la boîte à chansons d’autrefois, où la chanson francophone a pu si bien s’épanouir et nous faire connaître les Vigneault, Charlebois, Léveillée, Ferland et Julien. Si les bouteilles Chianti, les filets de pêche et les cages à homard ne sont plus là, nous pouvons retrouver dans cette petite salle les petites chandelles sur les tables, mais surtout l’intimité et la proximité avec notre richesse musicale émergente.
À la demande de commerçants locaux, monsieur Gélinas a décidé d’ouvrir un peu plus tôt que prévu cette petite scène à un duo, Michel Robichaud et Jessica Charlie. J’écris duo, mais en fait, c’est un trio parce qu’il y a aussi la présence de Loulou qui occupe une place non négligeable dans ce spectacle. Qui est Loulou ? C’est à vous d’aller le découvrir, car ce duo ou ce trio sera encore à l’affiche pour les trois prochains jeudis sur cette même scène.
Pour plusieurs d’entre nous, le nom de Michel Robichaud évoque plutôt un personnage clé de la mode au Québec depuis les années soixante. Sachez cependant qu’il existe un autre Michel Robichaud, beaucoup plus jeune, qui, lui, désire faire sa marque dans la musique et la chanson francophone. Auteur, compositeur, interprète, Michel Robichaud transporte son baluchon musical un peu partout pour nous faire connaître la richesse de ses textes et la beauté de ses musiques. Il nous livre des textes dont la palette est large, allant de la tendresse à la vie de tous les jours avec ses bonnes et ses mauvaises humeurs, sans oublier l’humour, dont une savoureuse chanson sur la vasectomie.
Pour le seconder et enrichir sa présence sur scène, il a sa complice, Jessica Charlie. Car tout au long de leur rencontre musicale, on sent cette complicité tant dans l’apport musical que dans les échanges verbaux entre eux sur scène. Jessica sait ajouter cette petite touche qui est toujours un plus dans le spectacle. De plus, si Michel s’avère un très bon musicien qui sait jouer plus d’un instrument, en plus de sa guitare et de sa Loulou, Jessica fait également sa marque au clavier, mais tout autant, sinon plus, au violon, où elle sait magnifiquement bien faire vibrer les cordes.
Michel et Jessica font partie de notre richesse émergente. À eux deux, ils ont tout le talent pour sous séduire musicalement et faire leur marque dans notre univers artistique et culturel. Toutefois, pour qu’ils émergent vraiment, il faut aller à leur rencontre et les découvrir. Le Théâtre Le Patriote vous en donne cette opportunité pour les trois prochains jeudis et ce, à très bas prix. Ne passons pas à côté de cette belle richesse !
Pierre Lauzon, Dans nos Laurentides.com
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Michel Robichaud remporte le prix SOCAN au Festival de la chanson de St-Ambroise
21 août 2013
La SOCAN participait récemment à la 22e édition du Festival de la chanson de St-Ambroise, dans la région du Saguenay, qui avait lieu du 9 au 17 août 2013. Laurie Lapointe du Service des membres de la SOCAN y offrait le mercredi 14 août un atelier d’information sur les droits d’auteur aux auteurs-compositeurs du concours. C’est Michel Robichaud, membre de la SOCAN, qui a remporté le prix SOCAN et sa bourse de 1000 $ pour sa pièce « Vas-y » lors de la finale le 17 août. Le prix lui a été remis par l’auteur-compositeur Luc de Larochellière, parrain du festival. En plus de remporter le prix SOCAN, il a également reçu les prix Vote du public, Astral Radio,Télé-Québec et Sorties Racine.
bonjour Michel , le 28 j’étais à val morin , j’ai beaucoup aimé , mais je crois que toi et la dame au violon c’est assez pas besoin des autres musiciens . un ami musicien a la retraite andré
Merci !
hey ! je regarde ça pis, comme ont dit si bien : tu as fais couler beaucoup d’encre !!! hahahaha ! xxxx love
j’ai trouvée un autre moyen de te rejoindre ! ou te gosser ! hihihi 😉